APRES DIVORCE OU SEPARATION DE LEURS PARENTS
DES MILLIERS D’ENFANTS DEVIENNENT ORPHELINS
D’UN DES 2 PARENTS (souvent du père)
Nombreux sont instrumentalisés
en véritables « enfants-soldats »
Les divorces et separations sont de plus en plus nombreux
Dans 15% des cas de séparation, un parent cherche à exclure l’autre parent
Les enfants deviennent alors injustement otages et victimes
C’est ainsi que, par milliers, des enfants et des adolescents
deviennent aujourd’hui orphelins du parent non-gardien (souvent du père)
pire, ces enfants sont amenés à commettre un véritable parricide psychologique (instrumentalisés par un parent comme véritables « enfants-soldats » pour commettre le meurtre symbolique de l’autre parent)
dans le comportement parental , il s’agit pour certains d’un acte délinquant manifeste et volontaire et chez d’autres d’une attitude pathologique, dans les deux cas préjudiciant gravement les enfants
ces comportements parentaux privant les enfants d’un de leurs 2 parents participent à une situation de génocide social (des dizaines de milliers d’enfants en Europe sont ainsi devenus orphelins d’un parent et ces parents voient aussi leur vie gravement mutilée), commis dans l’indifférence des gouvernements européens et de la Justice, avec la complicité d’intervenants naïfs ou rétifs dans le monde judiciaire et insuffisamment compétents dans le secteur psycho-social, donc fautifs professionnellement
L’action face à l’aliénation parentale au CANADA
Du processus de l’aliénation parentale à la pathologie chez l’enfant
LIVRE SCIENTIFIQUE EN ANGLAIS PAR UN PSYCHIATRE ALLEMAND – édition 2013
INFORMATIONS SCIENTIFIQUES SUR LE PROCESSUS D’ALIENATION PARENTALE
UNE ASSOCIATION VIGILANTE EN FRANCE: ACALPA
RÉFLEXIONS SUR LES MODES D’INTERVENTION PSYCHOLOGIQUE ET JUDICIAIRE
ARTICLE DE PRÉSENTATION DU PROCESSUS D’ALIENATION PARENTALE
LES CONSÉQUENCES DRAMATIQUES POUR LES PARENTS EXCLUS (le cas vécu d’un père en France)
Ce site est dédié à tous les enfants qui ont été profondément aimés par leurs deux parents mais qui pourtant, pré-adolescents, ont cru bon de décider de rejeter cet amour de l’un des deux parents
sous la pression d’un intense chantage affectif inconscient pour eux, ils sont devenus, inconsciemment aussi, le bras armé d’une vengeance conjugale
la Justice n’adopte souvent pas du tout l’attitude nécessaire pour sauver ces enfants et adolescents, et qui n’ont évidemment aucunement conscience du caractère pervers et catastrophique des événements sur leur psychologie et leur avenir, après plusieurs années de pourrissement de la situation
leur personnalité, après de nombreuses années de rupture totale avec ce parent, en est profondément affectée, pire, toujours sans qu’ils n’en aient la moindre conscience morale
ils sont ainsi perdus à jamais, d’êtres humains transformés en automates « immoraux », en fait « corrompus de l’extérieur »
la construction corrompue de leur personnalité, comme bâillonnée en pleine adolescence, devient alors stable et irréversible et ils restent ainsi inconsciemment mutilés a vie
meme l’amour de ce parent, aussi puissant soit-il, des années plus tard, ne peut plus rien y changer
leurs vies sont définitivement séparées, leur relation perdue, détruite, morte
pourtant profondement aimés, enfants, ils deviennent, adultes, imperméables à cet amour, insensibles, car violés par ce qui peut s’appeller un processus d' »aliénation », provoqué et/ou instigué par l’autre parent, corrompus qu’ils sont dans un rôle de contre-fort du parent gardien, qu’ils ont eu à tenir, contre-nature, situation totalement anti-éducative
tout reste à faire en matière de justice familiale sur cette question, car il s’agit clairement d’un génocide social, touchant des dizaines de milliers d’enfants
en attendant, paix à leur âme, pauvres adolescents d’hier et d’aujourd’hui, et donc pauvres adultes de demain qui, jusqu’à la fin de leur vie pour 2/3 d’entre eux, ne réussiront jamais à sortir du piège psychologique dans lequel ils sont tombés
Parents, concernés par ce problème, ne lachez pas prise dans les procédures judiciaires et n’hesitez pas d’utiliser les documents de ce site afin de faire prendre conscience à votre juge et aux psychologues et experts désignés de la gravité de la situation et des moyens nécessaires pour sauver vos enfants
Si vos enfants sont devenus majeurs, seuls, sans aide judiciaire, et vos enfants devenus adultes, vous devrez adopter une nouvelle attitude, conscients que le piège s’est refermé sur vos enfants
Laissez votre porte ouverte, qu’ils le sachent, ne leur en portez pas grief puisqu’ils ont été « aliénés » par (la psychologie de) votre ex-conjoint(e) et souvent son entourage aussi
votre ex-conjoint est souvent lui-même aliéné dans sa propre psychologie, soit aliénant volontaire soit aliénant inconscient
rien ne sert de « courir » derrière eux, ni de vous culpabiliser; ces enfants que vous avez aimés sont devenus différents, ils ne sont plus les mêmes (que ceux que vous avez aimés); transformés, ces adultes ne sont plus ni des enfants ni vos enfants tels qu’auparavant: apprenez à faire la part des choses, reconnaître objectivement la réalité
Vous avez droit à votre propre vie, votre propre bonheur; ne vous laissez pas envahir par leur rejet qui n’est pas un rejet de la part de vos enfants mais de la part d’adultes qui sont bien étrangers à vous, bien différents de vous; ils se trouvent dans une situation qui ne nécessite plus votre amour de parent comme lorsqu’ils étaient enfants
ni colère, ni indifférence, mais votre amour doit s’exprimer autrement, rester disponible s’ils prennent entretemps conscience, mais sinon gardez cette capacité et cette créativité d’amour pour vous-mêmes et votre nouveau ou futur conjoint et votre entourage actuel: n’hésitez pas de vivre votre vie d’adulte, en aimant vous souvenir de votre bonheur et votre don en tant que parent actif et soyez content d’avoir su aimer vos enfants, fait ce qu’il fallait pour eux et, maintenant qu’ils sont adultes et constatant objectivement votre écartement (injuste et injustifié), reprenez votre autonomie d’adulte (qui fut certes parent avant et qui éventuellement pourrait le redevenir mais seulement si vos enfants ont la chance dans leur vie de retrouver des relations saines et qui rouvrent leur coeur et les sortent du piège dans lequel ils sont tombés malgré vous, malgré eux)
courage et aimez, aimez-vous aussi, vous y avez droit !
aimez-les, continuez de les aimer, mais autrement, selon les stades et événements de la vie
battez-vous, tant que la Justice peut les aider et sauver la situation
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S Y N T H E S E ALIENATION PARENTALE
Les divorces et séparations sont de plus en plus nombreux et ceux-ci entraînent une augmentation alarmante de ruptures totales entre certains enfants et un de leurs parents (souvent le parent non-gardien). Les spécialistes en sciences humaines au niveau international qui étudient cette problématique considèrent que les conséquences psychologiques et sociales de pareilles situations sont graves et inquiétantes, aussi bien pour ces enfants et ces parents que pour la société toute entière: déséquilibres et traumatismes psychologiques, troubles de l’identité, rapport perturbé a l’autorité, comportements asociaux, dépressions, dépendances aux drogues, délinquance, problèmes scolaires, …
Les études montrent que la Justice est malheureusement souvent trop lente et dispose d’insuffisamment de moyens (information, formation, pouvoir,…) pour mettre en place des réponses adéquates permettant de solutionner des situations de séparations/divorces (hautement) conflictuels concernant les relations interpersonnelles parents-enfants et notamment celles reprises parfois sous le vocable d' »aliénation parentale » (nous ne reprenons volontairement pas le terme de « syndrome »), qui est une pathologie chez l’enfant, celle d’un rejet radical (injustifié) d’un parent qui a pourtant les qualités d’etre/rester parent, ces deux éléments étant à valider dans le cadre d’une expertise psychologique.
La procédure civile actuelle et/ou les procédures en cascade (civile, protectionnelle,…) -avec ou sans intervention de services sociaux et/ou judiciaires- ne répondent pas efficacement à ce genre de problèmes et il faut s’interroger sur de nouvelles pistes de solutions, notamment par des initiatives plus volontaires et plus rapides de la part des juges (qui doivent disposer de plus de moyens), en collaboration avec des professionnels médiateurs, psychologues et/ou psychiatres.
Si la voie de la médiation doit etre favorisée, il semble cependant que celle-ci (qui se pratique sur base volontaire) ait ses limites dans certaines situations, ne reponde pas necessairement à certains cas de figure et puisse même aboutir à renforcer le problème plutôt que le solutionner. La formule nouvelle d’un « arbitrage obligatoire », imposé par le Juge au(x) parent(s) récalcitrant(s), et donc la contrainte sont sérieusement à explorer, telles qu’elles sont pratiquées notamment au Canada et aux USA, et doivent être rendues possibles, comme moyens mis à la disposition du Juge des la procédure civile.
La meilleure prévention reste certes celle de formation des parents en séparation à leurs rôles et responsabilités de parents après cette séparation et la protection et le respect des besoins de leurs enfants communs, telle que pratiquée en Autriche et au Canada (où cette formation est obligatoire, dans certains Etats, pour tout parent introduisant une procédure de divorce).
Certains litiges entre parents requièrent une rapidité d’intervention, un diagnostic fiable et une collaboration étroite juge-psychologue, avec donc parfois un recours nécessaire à la contrainte, émanant du Juge en charge de ces situations, qui veillera à mandater un psychologue afin de mener un travail de diagnostic et si nécessaire de restauration de relations interpersonnelles saines et constructives pour l’enfant, en conformité avec ses besoins et son intérêt supérieur.
COMMENT SAUVER LES ENFANTS QUI EN SONT VICTIMES:
UN DISPOSITIF D’INTERVENTION PSYCHOLOGIQUE ADAPTÉ AUX SITUATIONS D’ALIENATION PARENTALE
1. Tous les experts sur la question insistent : face à une telle violence symbolique d’un parent gardien, véritable maltraitance psychologique d’un enfant, il est impératif de prendre conscience qu’il faut (malheureusement) judiciariser la réaction devant ce problème (malgré la tendance générale de déjudiciariser un maximum d’affaires familiales).
2. Veiller à vider ou continuer de bien débattre de tous les conflits du divorce dans une instance judiciaire distincte (enjeu de la conjugalité): car plus ces litiges se gèrent réellement et progressent vers des solutions concrètes, plus cela évite le transfert d’agressivité et de tensions conjugales sur les enjeux parentaux. Il est urgent d’harmoniser la gestion des litiges familiaux dans le cadre d’une instance cohérente, un Tribunal des affaires familiales, et où seront clairement distinguées la gestion des problèmes liés à la parentalité et la gestion de ceux liés à la conjugalité.
3. Mettre en application au niveau judiciaire des délais raisonnables (dans l’intérêt supérieur de l’enfant) de réaction de la part de la Justice en cas de conflit dur entre parents (pouvant évoluer en rupture de relation entre un des parents et un enfant), par l’intervention d’une analyse psychosociale en amont (notamment pour évaluer s’il y a aliénation parentale, c’est-à-dire un rejet radical non justifié d’un parent, qui a bien l’aptitude à être parent) ; préventivement, il serait utile d’amener les parents en procédure judiciaire de divorce ou séparation et ayant un litige pour les relations interpersonnelles parents-enfants à participer à des séances d’information à leurs rôle et responsabilités en tant que parents séparés.
4. Si un diagnostic d’aliénation (ou de rejet) parental(e) est confirmé par une expertise psychosociale, ouvrir la possibilité d’une ordonnance de transfert de garde de l’enfant vers le parent non aliénant (ceci devenant un critère clair pour tout juge pour accorder les droits) ou dans un centre (si les deux parents sont aliénants), avec obligation pour le(s) parent(s) aliénant(s) de fréquenter un service d’accompagnement aux responsabilités parentales (condition absolue pour qu’il(s) obtienne(nt) un droit de visite).
5. S’il s’agit d’un adolescent (souvent refusant le transfert): réorganisation de la garde avec augmentation du temps de contact avec le parent non aliénant, application d’astreintes en cas de non-respect, menace voire exécution d’emprisonnement du parent aliénant, éventuellement placement du jeune en internat ou dans un centre, afin de tenter de recréer les conditions nécessaires pour rétablir le lien au parent abusivement rejeté, d’une manière aussi ferme que l’est la violence symbolique de l’aliénation (que celle-ci soit consciente et volontaire ou pas).
6. Gestion du litige par un service d’accompagnement aux responsabilités parentales, avec rapports réguliers au Juge, par médiation ou arbitrage obligatoire entre parents (avec participation des enfants), de manière systémique soit collective (toute la famille) soit dédoublée père-enfant(s) et mère-enfant(s), afin de « déprogrammer » les perceptions de l’enfant dit « aliéné » (et en confiant la garde au parent le plus sain, non-aliénant) et amener le parent dit « aliénant » à changer son attitude (travail éducatif et éventuellement thérapeutique), ce qui ne sera pas toujours possible.
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CONSTAT:
la justice actuelle est trop lente, voire passive devant ce phénomène, et dispose d’insuffisamment de moyens pour gérer efficacement et dans un délai raisonnable certains litiges entre parents séparés en matière de garde et d’éducation des enfants, ce qui prejudicie actuellement des milliers d’enfants et d’adolescents
la tendance (raisonnable) à vouloir déjudiciariser est quand même aussi une forme d’aveu de cette impuissance, voire des fautes de la Justice ou plus encore de l’incapacité de notre Etat (dit démocratique) et de son manque de volonté et de crédibilité politique à réellement protéger les mineurs; mais en matière d’AP, de l’avis des experts psychologues, la déjudiciarisation peut se révéler être une grave erreur
PROPOSITIONS
réponse psychosociale: rétablir une co-gestion des rôles parentaux avec des professionnels psychosociaux, amener les parents en litige à négocier la répartition de leurs rôles et responsabilités
réponse institutionnelle: développer, par arrondissement judiciaire, des initiatives d’accompagnement des parents a co-gérer et partager leurs responsabilités parentales
le juge doit pouvoir déléguer cette mission dans un délai rapide (2 mois maximum) lorsqu’il y a conflit ou non-respect de décision judiciaire en matière de garde
ce type de service et de procedures est nécessaire car les structures d’aide a la jeunesse et de protection judiciaire, les espaces-rencontres et la médiation sur base volontaire ont montré leurs limites, voire leur incapacité à réagir devant des conflits durs;
il faut donc réorganiser le secteur et renforcer les moyens et les efforts, en assurant une cohérence dans le travail d’intervention des différents services
réponses judiciaires et financières: pour le parent coupable de pareille rupture, retrait de garde et obligation de suivi dans un centre d’accompagnement des responsabilités parentales (condition pour garder un droit de visite); s’il s’agit d’un adolescent (pour lequel il est plus difficile d’appliquer un transfert de garde), appliquer les moyens de contraintes efficaces, comme une éventuelle astreinte, suffisamment significative, a chaque non-presentation d’enfant, retrait de pension alimentaire et d’allocations familiales pour le parent gardien en faute et transfert vers l’autre parent, assorti d’une menace de retrait de l’autorité parentale ou retrait direct et automatique si la reprise de contact n’est pas effective
NOUVEAU SITE D’INFORMATION EN FRANCE: ALIENATION PARENTALE (references documents anglais incluses)
REFORMES
INSTAURER UN TRIBUNAL DES AFFAIRES FAMILIALES
DISPOSANT DES MOYENS DE MENER RAPIDEMENT UNE ANALYSE JURIDIQUE ET PSYCHOSOCIALE DES SITUATIONS
PRIVILEGIANT EN AMONT DES DEMARCHES DE MEDIATION, SINON D’ARBITRAGE OBLIGATOIRE
POUVANT S’APPUYER SUR DES LIEUX ET SERVICES D’EDUCATION, DE FORMATION ET DE TUTELLE DES RESPONSABILITES PARENTALES
(ARGUMENTAIRE APPROFONDI)
Pour protéger et aider ces trop nombreux enfants perturbés et prejudiciés par des séparations douloureuses et conflictuelles, il faut réformer l’encadrement judiciaire et psychosocial actuel.
Les législations doivent être revues et les structures réorganisées (les rôles des uns et des autres): juges des affaires familiales, services d’aide à la jeunesse et de protection judiciaire, espaces-rencontres, médiation familiale, maisons de justice, services d’aide aux victimes,…
Les secteurs de l’aide à la jeunesse et de l’aide aux familles doivent articuler leurs missions en intégrant l’éducation à la parentalité, y compris donc parfois avec une tutelle « contrainte » pour les parents concernés, avec un suivi psychologique et pedagogique plus directif et vigilant.
Par arrondissement judiciaire, une cohérence d’intervention doit pouvoir mettre en place cet accompagnement de parents et d’enfants concernés par ces séparations conflictuelles. Les interventions des professionnels méritent d’être clairement coordonnées (médiation, éducation, thérapie, encadrement, contrôle, suivi,…) et ce dans des délais raisonnables pour sauvegarder l’intérêt supérieur de l’enfant, ce qui n’est pas du tout le cas aujourd’hui.
Ainsi il est urgent de créer, dans chaque arrondissement judiciaire, des structures d’ACCOMPAGNEMENT des parents séparés à leurs RESPONSABILITES PARENTALES regroupant et coordonnant notamment les interventions des professionnels du secteur psychosocial, de la médiation familiale, des espaces-rencontres,….
Merci de votre lecture. Toutes réactions et propositions, tous commentaires sont les bienvenus afin de faire progresser la réflexion et clarifier ces réformes et les rôles, statuts et missions de chacun: institutions, professionnels, parents et enfants…